Le patrimoine religieux du canton de Plabennec

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Classé partiellement aux monuments historique par arrêté le 7/03/1916
Date : XVI^e siècle
Matériau : Granit
L’église Notre-Dame fut construite au XVIII^e siècle (1770) sur un tertre au bord de la rivière par le curé de l’époque M Lahaye à l’emplacement d’une ancienne chapelle dédiée à Notre Dame des Sept-Douleurs. Cette chapelle n’étant plus adaptée aux besoins d’une population croissante.
On ne conserva de l’ancienne chapelle que le clocher qui n’était nullement adapté aux proportions de la nouvelle église et donnait à l’ensemble un effet fort disgracieux. Lors de l’agrandissement de l’église, entre 1859 et 1862, par l’adjonction d’une travée, l’ancien clocher fut démonté pierre par pierre, surélevé et reconstruit. Il est classé monument historique depuis 1916.
Les vitraux viennent de l’atelier Balmet à Grenoble, ils ont été posés en 1912. L’intérieur de l’église a été rénovée en 1996. Situé sur le parvis, la chapelle des Trépassés qui est l’ancien ossuaire, est dédiée à Saint-Éloi et Saint-Herbot. Le bâtiment est restauré en 1842 et à nouveau en 1990.
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Date : XV^e siècle
Matériaux : Granit et pierre
Cette chapelle fut édifiée au XV^e siècle à l’endroit où vécut vers le milieu du V^e siècle le saint ermite Urfold (oncle de St Hervé). Ce dernier, aveugle de naissance, se rendit un jour à l’ermitage d’Urfold pour l’aider à rechercher sa mère Rivanone. Au cours de cette visite, un loup dévora l’âne d’Urfold. Saint Hervé apprivoisa la bête sauvage et en fit son compagnon de travail et de route.

La chapelle, courte mais large, comporte une nef de trois travées et un vaste chevet éclairé par deux hautes fenêtres flamboyantes jumelées, ornées d’un vitrail retraçant l’histoire de Saint Urfold dont le tombeau se trouve à l’intérieur. Il s’agit d’un sarcophage uni percé dans sa longueur d’une arcade par laquelle, le lundi de la Pentecôte, jour de pardon, les pèlerins passent et repassent à genoux pour demander la guérison de leurs rhumatismes.

Date : XIV^e-XV^e-XVII^e-XVIII^e siècles
Matériau : Granit
Ancienne chapelle donnée par les vicomtes de Léon à l’abbaye de Daoulas, qui y établit un prieuré-cure, Notre-Dame des Sept Douleurs devient église paroissiale au XVII^e siècle après avoir été chapelle tréviale de Plouguin. L’aspect irrégulier du bâtiment s’explique par les campagnes de travaux successives qui eurent lieu aux XV^e , XVII^e et XVIII^e siècles. Placée sous le patronage de Notre-Dame, elle devient, sans doute vers le XIX^e siècle, Notre-Dame des Sept Douleurs. Le pardon a lieu le troisième dimanche du mois d’août, probablement pour éviter la concurrence avec la paroisse de Bourg-Blanc, dont la fête se déroule le deuxième dimanche d’août.
Un second pardon, moindre, le pardoun an troiou, pardon des tours, est fixé le mardi de Pâques. À l’origine, la cérémonie consiste en neuf tours d’église, exécutés d’un pas rapide, avec récitation à genoux d’un Pater et d’un Ave Maria devant l’autel à chaque tour. Peu à peu, l’usage des neuf tours se réduit à un seul, sauf lorsque le malade est en danger de mort.

Date : XVII^e – XIX^e siècles
Matériau : Granit
Dédiée à saint Étienne, le premier édifice, en forme de croix latine, date de 1660. Les murs sont refaits en grande partie en 1751, comme en témoigne l’inscription qui se trouve au-dessus de la porte latérale. En 1781, faire fonctionner les deux cloches simultanément devient si dangereux que la reconstruction de la tour est décidée. Le 17 décembre 1809, la foudre s’abat sur le clocher, et la flèche est détruite. Une boule de feu descend l’escalier et provoque de nombreux dégâts dans l’église. La flèche, refaite, est plus courte. Quelques statues ornent le chœur datent du XVIII^e siècle et représentent saint Étienne, saint Jean et Notre-Dame de Lesquelen. Les fonts baptismaux portent des inscriptions, notamment le nom de Ian Prigent et la date de 1701.

Date : 1847
Matériau : Granit
Dédiée à Notre-Dame des Grâces, la chapelle de Lanvélar dut édifiée en 1837 sur autorisation de M^rg de Poulpiquet. L’emplacement serait celui du vieux bourg de Kersent-Coz dont il ne reste aucune trace.
En creusant les fondations, on découvrit des pièces de monnaie datant de Louis Le Gros (1108-1137), ce qui permet de supposer que l’église primitive fût bâtie au XII^e siècle. Pou construire le nouvel édifice on utilisa des matériaux en granit provenant des ruines de l’église Saint-Michel. Jusqu’à la fin des année 1960 on y célébra le culte régulièrement ainsi que le pardon qui donnait lieu à une procession partant du bourg de Kersaint.

Classé monument historique par arrêté depuis 1914.
Date : XVI^e-XIX^e siècles
Matériau : Granit
L’église y est dédiée à Saint-Paul (Pol) Aurélien, qui débarqua depuis le sud du pays de Galles sur l’île d’Ouessant vers 512. Saint-Paul (Pol) est l’un des sept saints fondateurs de la Bretagne. Il fut le premier évêque du Léon.
On a perdu la trace de la première église qui aurait été édifiée en son nom au lieu dit Lann Baol Goz (vieux Lampaul) sur la commune de Lampaul-Plouarzel. En effet, dans les lieux où il prêchait, le saint homme fondait des monastères (lann) autour desquels des villages se construisaient. C’est ainsi que l’on trouve : Lampaul-Plouarzel, Lampaul d’Ouessant, Lampaul-Guimiliau, Lampaul-Ploudalmézeau, Saint-Pol-de-Léon.
Une autre interprétation voudrait que lampaul signifie « le saut de Paul » (lam signifiant également saut en breton).
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Inscrit monument historique par arrêté le 18/10/1926
Date : XV^e-XVII^e siècle
Matériau : Granit
Adresse : Bel-Air
Dite aussi Notre-Dame-de-Penfeunteun, cette petite chapelle gothique au plan rectangulaire est le seul vestige du manoir fortifié de Troménec, fondé au XV^e siècle. Au XVII^e siècle, Guillaume Simon, seigneur de Troménec, y fait sculpter, sur le pignon ouest, une rosace en granit de style délié, comprenant six quatre-feuilles entourant un sixte-feuille central.

Date : XVII^e-XIX^e siècle
Matériau : Pierre et granit
Adresse : Anse de Brouennou
Dite aussi chapelle Saint-Éveltoc, la chapelle est construite entre 1605 et 1608, comme l’indiquent les deux dates gravées dans les murs de la cour et de l’enclos. Elle dépend alors de la jeune paroisse de Brouennou et recèle les reliques de saint Gouesnou. Le clocher est édifié au XVIII^e siècle, et le 9 août 1788 a lieu le baptême de la cloche principale, parrainée par le marquis de Kerouartz et la comtesse de Kerdrel. Mais la paroisse, bientôt unie à celle de Landéda, perd une partie de sa population, et l’église se dégrade. Érigée comme annexe de l’église paroissiale de Landéda en 1833, elle est reconstruite à partir de 1857, le conseil municipal ayant pris l’engagement de subvenir, le cas échéant, à l’insuffisance des recettes de la chapelle. Seuls le clocheton, le petit œil-de-bœuf et la fenêtre du pignon proviennent de la chapelle primitive.

Date : 1852
Matériau : Pierre
Adresse : Dunes de Sainte-Marguerite
Ce petit édifice rectangulaire qui domine l’anse des Anges possède notamment un maître-autel du XVIII^e siècle et une statue de sainte Marguerite du XVI^e siècle. La sainte, née à Antioche au III^e siècle est réputée avoir étranglé un dragon avec sa ceinture. Ayant survécu à d’atroces tortures, elle meurt décapitée. Invoquée par les jeunes accouchées, elle est ici représentée un dragon à ses pieds.

Date : 1875-1876, 1883
Architecte : Ernest Le Guerranic
Matériau : Granit
Cette église, reconstruite au XIX^e siècle, en remplace une autre dédiée à saint Guénaël. La flèche de la tour est inspirée de celle du Kreisker de Saint-Pol de Léon, mais ne comporte pas de galerie.

Date : 1785
Matériau : Granit
Adresse : D127, route touristique
Le site et l’emplacement de la chapelle étaient déjà un lieu de culte à l’époque préhistorique, un menhir, aujourd’hui disparu, situé près de la chapelle a été longtemps vénéré. La présence d’une stèle gauloise au sud atteste un lieu sacré à l’époque celtique. Le lieu a ensuite été christianisé : deux croix en granit datant du haut Moyen Age se trouvent, à côté de la fontaine et à côté de la chapelle.
Le menhir était réputé soulagé les rhumatismes, il suffisait de se frotter le dos contre « la pierre de Saint-Samson ». Quand à l’eau de la fontaine, on y trempait les petits enfants, ou simplement leur chemise, pour leur assurer force et santé, guérir les maux d’yeux ou les aider à parler, ou à marcher.
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Date : XV^e-XX^e siècles
Matériau : Granit
Adresse : Village de Kersaint
La chapelle Notre-Dame de Kersaint, ou Notre-Dame du Bon Secours en breton «Itron Varia a Wir Zikour» est placée sous la vocable de Sainte Haude qui fut décapité par son frère Gurguy, qui deviendra Saint Tanguy. Un Pardon attirant de nombreux fidèles, s’y déroule tous les ans pour le 15 août.
L’édifice, en forme de croix, possède une particularité rare : un couloir aménagé pour faciliter la circulation des fidèles pendant les pardons, à moins qu’il n’ait servi à séparer les lépreux de l’assistance tout en leur permettant de participer aux offices.
Face au portail, on trouve un ossuaire comportant 13 niches pouvant recevoir des crânes.
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Date : XVI^e siècle
Matériau : Granit
Adresse : Saint-Gonvel
La chapelle Saint-Gonvel, édifiée au XVI^e siècle, est située près du port d’Argenton, à proximité du GR34. Au bord de l’océan, elle est un lieu important pour les marins, surtout pour les pêcheurs qui y ont apporté plusieurs ex-voto.
Au XVII^e siècle, les maîtres de barques, les honorables marchands y faisaient célébrer leurs mariages en grande pompe.

Date : 1774-1876
Architecte : Joseph et Gustave Le Bigot
Matériau : Granit
L’église fut précédée de deux autres édifices. Le plus ancien, mentionné en 1516, est fermé au public en 1767 à cause de sont état de délabrement. Le deuxième est consacré en 1775 mais, devenu trop exigu, est rebâti à la fin du XIX^e siècle. Seul le clocher, de 1774, a été conservé. Il est l’œuvre du maître maçon François Cornou de Saint-Renan, d’après les plans de l’abbé Hardy. La nouvelle église est de style roman. Elle possède une nef et un transept élevés, et un déambulatoire ouvert sur trois chapelles rayonnantes. Les chapiteaux des piliers sont sculptés de motifs variés. Un nouveau maître-autel orné de bas-reliefs sur plaques d’ardoise est consacré le 5 février 1956.

Date : 1641-1644
Matériau : Granit
Adresse : Saint-Sébastien
L’épidémie de peste de 1640 est la cause directe de la construction de la chapelle. La peste a alors déjà ravagée la basse Bretagne à diverses reprises, notamment en 1598, 1625 et 1626. Le seigneur de Kerbabu, Ollivier de Bellingant, et son épouse, Suzanne de Kernéac’h, lèguent alors un terrain à l’écart de la commune, afin d’enterrer les cadavres, qui infectent la population. La chapelle est dédiée à saint Sébastien, particulièrement invoqué en temps de peste. Sa construction débute le 8 février 1641 et rassemble la bonne volonté de tous les paroissiens. La façade de style renaissance est achevée en 1643, le sanctuaire béni le 17 avril 1644. Elle est par la suite restaurée en 1785 et 1819.

Matériau : Granit
Adresse : Le Bergot
Comme tant de chapelles plantées dans la campagne bretonne, ce n’est pas faire injure à Saint-Yves du Bergot de dire qu’elle figure parmi les plus modestes. De plan rectangulaire, elle est maçonnée avec des moellons tout venant, même pour la façade, la pierre de taille étant réservée au clocheton, aux encadrements des baies et aux chaînages d’angle. L’éclairage est dispensé par la baie relativement étroite du chevet, et par un petit fenestron percé dans le mur sud vers le maître-autel.
A l’ouest, le clocheton coiffé en mitre est on ne peut plus simple.
Elle a fait l’objet d’une restauration complète au début des années 2000 jusqu’en 2007.

Date : 1720
Matériau : Granit
Construit en remplacement de l’église précédente, cet édifice doit son nom à saint Ténénan. Très beau et brillant seigneur de la cour de Londres, Ténénan demande au seigneur de l’enlaidir en recouvrant son corps d’une lèpre repoussante. Après quelques années d’épreuves, saint Carantec le guérit et l’envoie en Armorique, où le saint fonde l’église de Plabennec et celle de la Forest. Il défend le pays contre les invasions des Danois, puis est appelé au siège de Saint-Pol-de-Léon. Il meurt en 635. L’église ne garde du bâtiment originel que la tour et le porche.
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Date : XIII^e-XVII^e siècles
Matériau : Granit et schiste
La chapelle est tréviale jusqu’en 1696. Tombée en ruine à la Révolution, elle est raccourcie et rehaussée en 1841. Le clocher à galerie date du XVII^e siècle.
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Date : XVIII^e-XIX^e siècle
Matériau : Granit
Cette église en forme de croix latine construite en 1857, remplace un édifice déjà modifié au XVIII^e siècle, trop sombre et devenu trop petit pour accueillir la totalité des paroissiens. De l’ancienne église, subsiste dans le chevet une pierre encastrée portant la date de 1504. Très délabrée, elle est interdite d’accès par l’évêque du Léon, Joseph-François d’Anbigné de La Chasse, en 1765. Le clocher, à deux étages et à deux galeires, est édifié en 1775-1776 par le maître maçon Cornou, de Saint-Renan. Les pierres servant à sa construction proviennent de la grève de Kerros. Il s’agirait du dernier clocher de tradition gothique construit en France.
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Date : 1895-1921-1956
Architecte : Ernest Le Guerrannic
Matériau : Granit
Adresse : Village de Portsall
Construite en 1895 pour offrir aux habitants de Portsall un lieu de culte et leur éviter ainsi d’avoir à se rendre à Ploudalmézeau, cette église est agrandie en 1921, puis augmentée d’une chapelle, édifiée selon les plans de Heuzé, en 1956. Le pardon de Portsall est célébré aux environs du 16 juillet et se termine par la bénédiction de la mer et des bateaux.
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Date : XIX^e siècle
Matériau : Granit
La chapelle de Kerlanou (le village près des landes) du breton «ker» (village) et «lann» (landes) est située à 2 km au nord du bourg de Ploudalmézeau. Il s’agit d’une petite chapelle de plan rectangulaire qui fut reconstruite vers 1880 à l’emplacement d’une ancienne chapelle. Une fontaine et un lavoir se trouve également à proximité.
Elle est dédiée à Saint Eloi, saint patron des forgerons et des orfèvres, ainsi qu’à Sainte Brigitte invoqué pour favoriser la fertilité. On peut la trouver nommer sous le nom de chapelle Saint-Éloi ou chapelle Sainte-Barbe. Il s’y déroule traditionnellement vers la fin juin un Pardon des chevaux.
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Date : 1642-1970
Matériau : Granit
Adresse : Saint-Roch (voir la carte)
A Ploudalmézeau, les pestiférés étaient souvent tonneliers, le bois étant un matériau qui ne transmet pas la maladie. les maisons étaient regroupé autour d’une même cour. les lieux de culte et de sépulture étaient construits à l’écart du village pour éviter la propagation des maladies.
Construite en 1642 après une maladie de peste et restaurée en 1970, cette chapelle est dédiée à Saint Roch, qui protège des grandes épidémies, telle que la peste.

Date : XVII^e siècle – 1867-1868
Architecte : Joseph Bigot
Matériau : Granit
Cette église, bâtie avec l’aide de tailleurs de pierres de Locronan, possède un clocher encastré, à un étage de cloches et une seule galerie, datant de 1662, et une chapelle du XVII^e siècle édifiée au-dessus de la tombe de saint Pirric, sur le placitre. Elle comprend également une nef de cinq travées avec bas-côtés, un transept et un chœur à noues multiples de type Beaumanoir.
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Date : 1771
Matériau : Granit
Adresse : Loc-Majan
De cet édifice en forme de croix latine subsiste la porte ouest, remployée, qui date du XV^e siècle. Sur le chevet, un écu ancien à trois chevrons est timbré d’un heaume martelé. À l’intérieur, des pierres tombales portant les armoiries de Trouzilit attestent que les nobles des environs s’y faisaient inhumer. Au sommet du pignon sud, un escalier taillé permet d’accéder au clocheton.

Date : 1767
Architecte : Charles Le Roy
Maître maçon : René Lesteven
L’église actuelle date de 1767, L’édifice lambrissée est en forme de croix avec les ailes du transept arrondies et le chevet est à pans coupés. Le clocher possède un étage de cloches. Le bénitier est aux armes de la famille Kergadiou. La chaire à prêcher date du XVIII^e siècle. Les vitraux de l’atelier Lobin datent de 1885. Ils renferment les portraits de Saint-Tugdual, Saint-Herbot et Saint-Maudez. L’église abrite les statues de la Vierge-Mère et de Saint-Tugdual.

Date : 1860
Matériau : Granit
Ancienne trève de Plouguin, paroisse de l’ancien évêché du Léon maintenu lors du Concordat, elle remplace une ancienne église plus petite dont on a conservé à l’intérieur, quelques bénitiers en granit et l’entourage de la porte sud comprenant les armoiries des familles Tournemine, nobles de Trouzilit.
L’église date de 1850 et est placée sous le patronage de Saint-Pol-Aurélien. Elle se présente en forme de croix latine, sans bas-côtés, à chevet plat.
Le clocher à galerie classique de 2 chambres, abrite 3 cloches, une de 1959 et deux qui datent de 1841 et sont donc contemporains de l’église précédente.
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