Le patrimoine religieux du canton de Carhaix-Plouguer

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Classé monument historique le 21/12/1914
Date : XVI^e-XVII^e siècles
Matériau : Granit
L’église de Brasparts est dédiée à la Vierge et à saint Tugen, saint populaire qui est honoré aussi à Primelin et invoqué contre la rage droug, sant Tujen. En forme de croix latine, elle comprend une nef de six travées avec bas-côtés et clocher encastré à deux galeries, deux chapelles en ailes formant transept et un chœur profond à pans coupés. Le clocher et la nef, avec la porte ouest de 1551 et le porche sud de 1589, mêlent le style gothique et le style Renaissance. Le bras nord du transept porte la date de 1623, le chevet, probablement reconstruit, celle de 1724.
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Date : 1660
Matériau : Granit et Schiste
Adresse : Doulvenn Vraz
Cette chapelle est dédiée à saint Sébastien, à qui on attribue, au XVII^e siècle, le pouvoir d’arrêter les épidémies de peste. Sur le placitre, le calvaire à fût écoté est orné d’une Vierge à l’Enfant au revers du crucifix. Au XIX^e siècle,on récite encore des neuvaines pour que les malades soient guéris rapidement : neuf personnes doivent se rendre en silence à la chapelle et en faire le tour en récitant le chapelet. Le troisième doit s’achever dans la chapelle même.

Classé monument historique le 12/11/1914.
Date : 1485-XVI^e siècle-1694
Matériau : Granit
Le fenestrage du chevet de cette ancienne chapelle de pèlerinage comporte trois fleurs de lis, témoignage probable des mariages d’Anne de Bretagne avec Charles VIII, puis Louis XII. Les seigneurs du Rusquec, Alain de Kerlec’h du Chastel et son épouse – depuis 1637 – Renée de Lannion, se prétendent fondateur de la chapelle et exigent de recevoir une paire de gants rouge lors de la fête de la Nativité de la Vierge. Au XIX^e siècle est attestée la coutume des habitants de Brennilis de se rendre à l’église, le premier lundi de mai, et d’en faire le tour, à l’intérieur ou à l’extérieur, à pied ou à genoux.

Classé monument historique le 20/01/1983
Date : XV^e-XVI^e siècles-1689-1907
Une église est mentionnée au bourg de Cléden-Poher en 1363. En 1575, Gilles de Kerampuil, recteur de Cléden-Poher et chanoine de la Collégiale Saint-Trémeur à Carhaix, fait édifier l’enclos paroissial pour marquer la fin de la quatrième Guerre de Religion (1571-1573).
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Date : XVII^e siècle-1749
Matériau : Granit et schiste
Adresse : Le Mur
Cette chapelle de plan rectangulaire serait du VII^e siècle, tandis que la sacristie date de 1749. Elle est construite à l’emplacement d’un ancien oppidum.

Date : XVIII^e XIX^e siècles
Architecte : Armand Gassis
Matériau : Schiste et granit
L’église Notre-Dame est reconstruite par l’entrepreneur Michel Mazé de Brasparts grâce à une souscription publique et à la vente des arbres des anciens cimetières des chapelles. De l’ancien édifice trévial, l’église Notre-Dame conserve le clocher à dôme, reconstruit au début du XVIII^e siècle. L’ancienne église est alors considérée comme malsaine à cause de son enfouissement. Il était nécessaire de descendre plusieurs marches pour entrer dans le bâtiment. L’église abrite une statuaire variée des XV^e , XVI^e et XVII^e siècles, provenant des chapelles disparues de Saint-Roch, de Sainte-Barbe et de Saint-André.

Date : 1512-1682-1970
Matériau : Granit et schiste
Adresse : Saint-Guénolé
La chapelle Saint-Guénolé à Collorec date de 1512. C’est l’ancienne chapelle privée du manoir du Cleuziou. Le grand pardon a lieu le premier dimanche de septembre.
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Date : 1874
Matériau : Granit et schiste
Adresse : Sainte-Marguerite
En forme de croix latine avec chevet plat et clocher surmonté d’une flèche à crochets, l’édifice remplace une ancienne chapelle dépendante du manoir proche de Trefflec’h. Le pardon de Sainte-Marguerite a lieu le troisième dimanche de juillet et attire au début du XX^e siècle, une foule considérable venue des communes voisines. Pour être sûres d’avoir un enfant dans l’année, avant d’entrer dans le sanctuaire les femmes se frottent le ventre contre le pilier creusé en bénitier placé devant la porte ouest.

Date : XIII^e siècle – 1858
Matériau : Granit
Cette église dédiée à saint Jean-Baptiste, patron de l’Ordre des Chevaliers Hospitaliers, a été construite en 1858 sur les ruines d’une ancienne chapelle datant du XIII^e siècle dont elle en a conservé quelques éléments : La cloche datant de 1683,le chevet et sa fenêtre axiale à réseau flamboyant, l’enfilade de colonnes, la porte du porche sud. Elle est de style gothique et possède un magnifique portail en granit sculpté. À l’intérieur, on peut admirer un retable baroque du XVII^e siècle, ainsi qu’un bénitier en pierre du XVIII^e siècle. Elle est aussi dotée d’un clocher à galerie et d’une flèche octogonale ornée par de nombreuses crossettes représentant soit des animaux, soit des personnages, entre autres, des lions, des chiens, un cochon, un kangourou, un singe, un ours, un vieil homme et un dragon.

Date : XII^e, XVII^e siècles – 1992
Matériau : Granit
Adresse : Bourg
Probablement construite au XII^e siècle par les Hospitaliers lors de leur installation, et remaniée par la suite, la chapelle Saint-Houardon a servi d’église paroissiale jusqu’à l’édification de l’église Saint-Jean-Baptiste.
Elle servait à l’époque de lieu de discussion pour les habitants lors des plaids (réunions de tous les chefs d’exploitation en présence des officiers et notaires représentant le Commandeur Hospitalier).
A l’intérieur de la chapelle se trouvent deux statues en bois polychromes celle de saint Houardon, sixième évêque du Léon, patron des gens de mer mais aussi protecteur des troupeaux, et celle de sainte Catherine d’Alexandrie. Cette dernière statue pourrait provenir de l’ancienne chapelle Sainte-Catherine aujourd’hui disparue. Des attributs traditionnels du supplice de la sainte, roue et épée, il ne reste plus que la garde de l’épée.
La chapelle a été restaurée en 1992.

Inscrit monument historique le 26/12/1927
Date : XVI^e-XVIII^e siècles
Matériau : Granit et schiste
Cette église est liée par son nom à la collégiale Saint-Trémeur de Carhaix, car le recteur de la trève de Kergloff était aussi chanoine de cette collégiale. La sacristie est construite en 1697. Les deux dates inscrites sur le clocher, 1720 et 1736, sont sans doute celles du début et de la fin de sa construction. Des refends intérieurs séparent la nef de la chapelle des fonts baptismaux et d’une réserve de bois destinée à alimenter la cheminée. L’autel principal, en granit, date de 1581, mais son origine est inconnue.

Date : XVI^e-XVIII^e-XX^e siècles
Matériau : Granit, schiste
Adresse : La Trinité
La date de construction de cette chapelle n’est pas connue précisément. Le clocher porte la date de 1723 mais il est probable que la chapelle soit plus ancienne.
Comme presque toutes les chapelles du Poher, elle présente un plan rectangulaire à un seul vaisseau couvert en charpente. Comme l’atteste le cadastre de 1823, cette chapelle était à l’origine en croix latine, formée soit par un transept, soit par deux chapelles latérales symétriques. Mais dès le début du XXe siècle, tombant en ruines, ces éléments ont été détruits. La charpente et la couverture ont également été refaits à neuf mais une des fermes d’origine a pu être conservée.

Date : XIX^e siècle
Matériau : Granit, schiste, grès
Adresse : Restanlern
Cette chapelle a été construite au début du XIX^e siècle sur le même modèle que les autres chapelles de la région : un plan rectangulaire des plus simples avec lambris en berceau.
Comme bien d’autre édifices du même type, dans le courant du XX^e siècle, en raison de l’exode rural, qui vide peu à peu les campagnes et le déclin de la pratique religieuse, surtout après 1950, elle est peu à peu abandonnée. En 1987, la chute d’un arbre endommage la charpente. À la fin des années 1990, la chapelle est entièrement restaurée grâce à l’aide d’un groupe de passionnés.

Date : XVI^e-XVII^e-XIX^e siècles
Matériau : Kersantite et pierre de Logonna
En forme de croix latine, l’église Saint-Pérec comprend une nef de trois travées avec bas-côtés, deux ailes formant un faux transept et un chœur profond à chevet polygonal. Reconstruite en 1894 sur les plans de l’architecte Gassis, elle a conservé de l’ancien édifice la chapelle des fonts baptismaux à pans coupés, le porche au midi, le porche ouest surmonté du clocher et la sacristie sud de 1699. au sommet de l’accolade de la porte sud donnant accès au monument, l’écu des Penguern rappelle la fondation de l’ancienne construction par Yves de Penguern et Marie de Kermorial, sa femme. C’est ici que les Lopérecois venaient payer leurs chefrentes. L’une des deux sablières polychromes porte la date de 1586. À l’intérieur, des niches Renaissances, séparées par des bandes méplates ornées de roses, abritent les statues des apôtres en kersantite, sculptées en 1615 par Yves Cévaer. Garnie de clochetons pointus aux angles, la flèche du clocher est la plus élancée de la région. Montée en 1669, la tour reconstruite en 1764 est foudroyée peu après. Elle ne sera achevée qu’en 1860, par Le Naour.

Date : XVI^e siècle-1770-1859-1903
Matériau : Kersantite, pierre de Logonna et schiste
Adresse : Route de Brasparts
Bâtie sur un site gallo-romain, cette chapelle en forme de croix latine possède une sacristie hexagonale à toiture en bulbe. Dépendant de la maison de Penguern, dont les armes alliées figurent sur la porte en plein cintre du pignon et au-dessus de la fenêtre sud, l’édifice est donné à perpétuité en 1641 aux paroissiens par Olivier de Penguern. La chapelle est reconstruite en 1769-1770, puis réparée à nouveau en 1859 et en 1903. sur le clocheton, deux oiseaux adossés tiennent un globe de pierre avec leurs ailes déployées.

Classé monument historique par décret le 06/09/1916.
Date : XVI^e-XVII^e-XIX^e siècles
Matériau : Granit, schiste
Cette église date du XVI^e siècle, à l’exception du clocher, reconstruit en 1697 et complété par une flèche élevée par l’architecte Joseph Bigot en 1850. Le porche sud, de style gothique, comporte des niches d’où ont disparu les statues des apôtres. Le remplage de la fenêtre d’axe du chevet plat est orné de trois fleurs de lys.

Date : XVI^e-XVIII^e-XIX^e siècles
Matériau : Granit et schiste
Il ne reste que des vestiges du bâtiment du XVI^e siècle. En effet, l’église est reconstruite de 1763 à 1768 par les architectes Cloarec et Poulizac. Le porche est daté de 1767. Le clocher est restauré en 1834, et la chapelle des fonts baptismaux est bâtie à la même époque. La charpente, lambrissée en berceau, est refaite de 1891à 1893. Le clocher carré est à double balustrade extérieure, avec un escalier intérieur classique. Deux autels avec retables en bois peints en faux marbre, deux tableaux représentant la Vierge enfant apparaissant à saint Dominique et une âme du purgatoire délivrée par son ange gardien, ainsi que plusieurs statues, dont celles de saint Leuffroy et de saint Pierre, en bois polychrome, ornent le transept et le chœur.

Date : XVI^e-XX^e siècles
Matériau : Granit, schiste
Adresse : Sainte-Brigitte
Cette chapelle, reprenant la même disposition que les autres chapelles du Poher, relevait de la baronnie de Kergolay, l’une des plus puissantes seigneuries de la région. Sa construction remonte à la première moitié du XVI^e siècle, en témoigne le mur pignon occidental, en grand appareil. Elle est dédiée à sainte Brigitte de Kildare, très engagée dans l’œuvre missionnaire après saint Patrick (fin du V^e siècle). Les femme l’invoquent surtout pour avoir des enfants ou encore pour s’assurer une bonne grossesse. La chapelle était aussi placée sous le patronage de saint Alar, protecteur des chevaux, qui avait lui aussi son pardon. Elle a été entièrement restaurée à partir des années 1980, les travaux se terminent en 2007 avec la réfection du dallage.

Date : XVI^e-XVII^e siècles-1838
Matériau : Granit et schiste
Entièrement remaniée et agrandie au XIX^e siècle, l’église paroissiale Saint-Pierre garde son porche du XVI^e siècle aux voussures décorées de feuilles carrées, attribué à l’atelier de Carhaix. Le beffroi à double balcon et le clocher en dôme à lanternon datent du XVII^e siècle.
La porte polylobée du porche portant une inscription en lettres gothiques et celle de la sacristie datent aussi du XVII^e siècle. Les lambris de la sacristie, le maître-autel avec ses douze apôtres, la chaire à prêcher et les fonts baptismaux sont dus aux menuisiers de la marine, qui voient, au milieu du XIX^e siècle, diminuer le nombre de chantiers navals et trouvent de nouveaux débouchés dans la décoration des églises.

Date : XVI^e-XX^e siècles
Matériau : Granit et schiste
Adresse : Route de Loqueffret
La chapelle, entièrement restaurée au XX^e siècle, est la seule du diocèse qui soit dédiée au premier évêque légendaire de Nantes, saint Clair, sant Clar en breton. Le pardon a lieu le quatrième dimanche d’août. La tradition veut qu’une fontaine, située en contrebas de la route, prenne sa source dans le sanctuaire. L’un des vitraux en dalle de verre représente la Cène. La croix mutilée du placître porte un crucifix du XX^e siècle. Une pietà de pierre qui se trouve dans la chapelle provient de ce calvaire.

Date : XVI^e-XIX^e siècles
Matériau : Granit et schiste
Dans cette église, le thème de la passion du Christ est particulièrement développé. Il figure en effet, d’une part, sur le Chemin de Croix du XIX^e siècle, où chaque station est représentée en haut relief sur des panneaux et, d’autre part, sur la verrière, en trois séries de trois registres chacune. Le clocher, conçu par l’architecte Jules Boyer, est ajouté en 1879.

Inscrit monument historique le 29/03/1935
Date : XVI^e-XVII^e siècles
Matériau : Granit, grès et schiste
Adresse : Sainte-Catherine
L’édifice est construit en bordure d’une ancienne voie romaine, et remplace sans doute un sanctuaire plus ancien. Sa construction s’achève en 1615.
Sainte Catherine, comme Saint-Idunet, est une ancienne église tréviale. Cette dernière remplit une sorte de service religieux de proximité. C’est la raison pour laquelle à la fin du XVI^e siècle le marquis de Tymeur de Poullaouën donne son accord au projet de construction d’une chapelle, à la grande satisfaction des fidèles dont le domicile est éloigné de l’église paroissiale Saint-Pierre de Plounévézel. Le vicaire y remplit les missions essentielles : offices, baptêmes, mariages, sépultures et tient les registres paroissiaux. La chapelle est à l’abandon en 1792. Trois restaurations sont réalisées au XIX^e siècle et les dernières obsèques y sont célébrées en 1832.

Date : XVI^e siècle
Matériau : Granit et schiste
Adresse : Saint-Idunet
La date précise de sa construction n’est pas connue mais la chapelle Saint-Idunet a peut-être été édifiée au XVI^e siècle. Elle adopte le même parti que la chapelle Sainte-Catherine : une nef séparée du bas-côté par une rangée de quatre piliers et cinq arcs brisées.
Elle est placée sous le patronage d’un saint breton du VI^e siècle, Ediunet (ou Ethbin), disciple de saint Guénolé, fondateur de l’abbaye de Landévennec.
Plus qu’une simple chapelle, Saint-Idunet était l’église d’une des deux trèves, sortes d’annexes de la paroisse primitive de Plounévézel. Les tombes encore visibles dans l’enclos, témoignent de l’importance qu’a eu l’édifice tout au long de l’Ancien Régime et jusqu’à une période récente : la dernière sépulture à Saint-Idunet remonte à 1914.

Date : XVII^e-XIX^e siècles
Matériau : Granit
Le pignon occidental percé d’un portail classique à fronton cintré et la tour à double galerie et à flèche qui le surmonte restent les seuls éléments de l’édifice du XVIIe siècle. Deux inscriptions gravées sur le mur rapellent les dates de 1680 et de 1684. L’église est reconstruite entre 1862 et 1864 d’après les plans de l’architecte Jules Boyer. Une inscription au chevet témoigne des travaux. La nef à six travées avec bas-côtés est prolongée par un chœur profond à chevet polygonal. Un porche latéral s’ouvre au sud. Il est non voûté, et ne possède pas de bancs. Les porches en avancée servaient en effet souvent de lieu de réunion aux fabriciens. Quant au vaisseau de la nef, il est lambrissé, et ses grandes arcades en tiers-point pénètrent directement les piliers octogonaux.

Date : XVII^e siècle
Matériau : Granit
Adresse : Saint-Salomon
Peu d’édifices sont dédiés à saint Salomon (Salaün), devenu roi de Bretagne en 857 après avoir assassiné Erispoë, son cousin et prédécesseur. En 874, Salomon est lui-même livré aux Francs et exécuté, selon certains auteurs, dans l’église d’un lieu appelé « La Martyre » en souvenir de cet évènement.

La chapelle est un édifice de plan rectangulaire. Elle possède une sacristie au flanc nord. Dans le fronton cintré de la porte ouest, on peut lire l’inscription : « M:L:LE:MOAL/P/CHATELAIN/F:LE LAY/ET/T/BRVN/F/1660 »
Le calvaire présente des statues géminées de part et d’autre du crucifix et une Vierge à l’Enfant au revers du crucifix. Une petite fontaine aux vertus guérisseuses est située dans le pré au sud de la chapelle. Le pardon de saint Salomon, célébré à la Pentecôte, est aussi celui des chevaux qui sont bénis à cette occasion.

Date : 1843
Architecte : Théodore Boyer
Matériau : Schiste
Cette église a pour éponyme saint Rivoal, dont le culte est peu répandu. À l’intérieur de l’église, sa statue le présente en moine. Théodore Boyer est également l’auteur du chevet de l’église de Pleyber-Christ et du clocher de l’église Saint-Martin de Morlaix.

Date : 1709-1719
Matériau : Schiste et granit
Au XVI^e siècle, l’enclos paroissial comprend une église, dont il ne reste aucune inscription, un cimetière, un ossuaire et une chapelle dédiée à saint Antoine. La nouvelle église est consacrée en 1719 par l’évêque de Quimper, François-Hyacinthe de Plœuc. Elle comporte une nef à trois vaisseaux de quatre travées avec bas-côtés et un chœur accosté de deux sacristies. Le clocher-porche comprend deux galeries et une flèche octogonale à crochets. Un grand escalier dans le porche sud, est utilisé pour les grandes cérémonies.
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